L’univers de l’escalier comporte un grand nombre de terminaisons techniques qu’il peut être difficile de comprendre du premier abord. Nous vous avons donc préparé un lexique vous expliquant toutes les notions importantes à retenir.
L’escalier autoporteur ne comporte ni limon, ni contremarche : en somme, chaque marche est fixée dans le mur avoisinant de manière complètement indépendante. Aucune marche n’est dépendante des suivantes ou des précédentes, c’est pourquoi le vocabulaire de l’escalier nomme cette installation « un escalier autoporteur ».
La balustre peut aussi être nommée « garde corps » dans le lexique de l’escalier. Il s’agit d’une balustrade ou d’une petite barrière située aux abords de l’escalier, empêchant les utilisateurs de chuter lors de leur utilisation de l’escalier.
Il s’agit dans ce cas de la partie verticale d’une marche, visible par l’utilisateur lorsque celui-ci se trouve face à l’escalier. Les contremarches peuvent par ailleurs être décorées de diverses manières afin de s’accorder avec votre intérieur.
Dans le lexique de l’escalier, l’emmarchement désigne tout simplement la largeur utile d’un escalier, ou, plus couramment, la longueur d’une marche.
Le garde-corps est un synonyme de la balustrade, soit une petite clôture ou barrière empêchant la chute des utilisateurs de l’escalier.
Le giron est la profondeur des marches d’un escalier, soit la distance comprise entre deux nez de marche.
Dans le lexique de l’escalier, la forme hélicoïdale est synonyme de la forme en colimaçon : cela signifie que l’escalier est enroulé sur lui-même, de manière à ce que le parcours de l’utilisation forme une boucle.
La main courante représente la rampe d’escalier : une barre permettant à l’utilisateur de s’y tenir lors de l’utilisation de l’escalier.
Le nez de marche constitue la pointe de la marche, qui accueille le bout du pied de l’utilisateur lors de l’utilisation de l’escalier.
L’escalier suspendu est un type d’escalier dont les marches sont fixées au sein du mur d’un côté, et reliées par un garde-corps de l’autre.
La trémie représente l’espace entre deux étages dédié à l’installation d’un escalier, soit l’ouverture d’un sol afin de relier un étage à un rez-de-chaussée, par exemple.
Il s’agit d’un escalier dont la forme amène l’utilisateur a effectuer un demi-tour sur lui-même lors de la montée ou de la descente des marches.
Vous voilà devenu des professionnels du lexique de l’escalier !